Différences entre données structurées et non structurés
Besoin d'un formalisme conceptuel pour représenter les données (Modèle Conceptuel des Données, MCD)
Liens entre algèbre relationnelle, MCD, SGBDR
Passage au format logique des données dans une base relationnelle (table, colonne, ligne)
Liens entre les données et contraintes d'intégrité (clefs primaire et étrangères)
Problématiques liées à l'implémentation physique des données
Les solutions proposées par les SGBDR
Un petit mot sur les bases NoSQL par rapport à un SGBDR
Aperçu des possibilités du langage SQL (select, insert, update, delete)
Standardisation du SQL par l'ANSSI
Les dialectes
Utilisateurs et droits (GRANT, REVOKE)
Notions de transactions (ACID)
Accès concurrents et verrous (commit, rollback)
L'objet de base dans un SGBDR : la table
Pourquoi doit-on typer les données d'une table (varchar, number, date...) ?
Notion de schéma par utilisateur
Les grands éditeurs du marché (Oracle, DB2, SQL Server, PostgreSQL, MySQL, etc.)
Fonctionnalités des IDE pour un développeur SQL
Oracle et SQL Developer
SQL Server et DBA Management Studio
MySQL et SQL Workbench ou phpMyAdmin
PostgreSQL et DBeaver
Autres outils (DbVisualizer, Devart...)
Paramétrer sa session de travail (formats d¿affichage)
Savoir exporter les données de sa base dans un fichier texte
Savoir importer les données d'un fichier texte, CSV, XML dans la base
Découvrir comment présenter les résultats des requêtes SQL dans un fichier Excel
Bien comprendre le schéma relationnel sous-jacent
Vue générale d'une requête SQL (select, from, where)
Exemple de requête d'extraction simple sur une seule table
Les clauses de filtrage (where)
Trier les résultats (ORDER BY)
Conditions et opérateurs de comparaison
Les mots clefs IN, BETWENN, LIKE, IS NULL
La certification « Langage SQL : Exploiter une base de données relationnelle » vient évaluer les compétences suivantes : l’extraction de données à l’aide de requêtes simples et complexes, mettre à jour les données d’une table, et créer des vues.
Elle est constituée de cas pratique qui positionnent le candidat dans une situation similaire à son environnement de travail ainsi que de questions sous la forme d’un questionnaire à choix multiple et à choix unique. Cette épreuve est chronométrée et dure 1 heure 30 maximum.
La certification est obtenue si le candidat obtient 700 points minimum sur 1000. Un cas pratique vaut dix fois plus de points qu’une question de type QCM/QCU. Un candidat ne peut donc pas obtenir sa certification uniquement avec les questions de type QCM/QCU. Le résultat ainsi obtenu permet de valider les compétences du candidat dans l’exploitation de données avec le langage SQL, dans une base de données relationnelle.